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Cabinet BEYNET Avocats

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« L’avance financière nous a bien aidés suite à notre accident »

David et sa famille témoignent de l’aide déterminante de notre cabinet d’avocats pour les accompagner dans leur indemnisation suite à un accident de moto survenu en 2017.

« Je partais en moto faire du sport à Nevers, comme chaque mardi. Dans un virage, j’ai été percuté par une voiture. Nous avons su par la suite que la conductrice avait 1,4g d’alcool dans le sang… » David est l’un de ces rescapés de la route qui se bat au quotidien, malgré la perte d’une jambe et d’un doigt, le bassin et l’avant-bras facturés… A Nevers comme à Dijon, il a été victime de plusieurs hémorragies qui auraient pu entraîner sa mort.

Mais David a tenu bon et a entamé sa rééducation pendant un an au centre de Bourbon-Lancy. « Il a fallu réapprendre à se servir des bras, marcher, s’asseoir même, s’approprier la prothèse, faire les bons gestes, les choses de façon différente… »

Cette reconstruction physique s’est évidemment accompagnée d’un nécessaire volet financier. Au moment de l’indemnisation, suite à des difficultés de réponses avec un premier professionnel, David a décidé de s’adresser au cabinet d’avocats Serge Beynet : « Dès le premier entretien avec l’assistant social Xavier Salvi, j’ai été rassuré par des personnes qui savaient de quoi elle parlaient sur l’expertise. Leurs connaissances leur permet d’être en relation avec des spécialistes ; ils m’ont dirigé vers les bonnes personnes. »

L’avance financière, une bouffée d’oxygène

L’avance financière obtenue par notre cabinet a permis à David d’accélérer chaque étape de l’indemnisation : « J’ai réussi les tests pour la bonne prothèse, mais elle n’était pas remboursée par la Sécurité sociale. L’avance m’a permis de l’avoir dès ma sortie du centre de rééducation, également de changer de véhicule pour une voiture automatique adaptée. Cette autonomie a facilité ma rééducation vu que je pouvais me déplacer plus facilement vers le centre.

Retrouvez ici la vidéo de l’interview de notre client

Concernant notre logement, l’assurance de la partie adverse a décrété que je n’avais pas besoin de fauteuil roulant vu que j’avais une prothèse. Pourtant notre maison n’était pas adaptable à ma situation. Une architecte experte judiciaire désignée par le Tribunal a dû être saisie pour trancher le différend avec l’assureur. Elle a été objective en indiquant que notre ancienne maison n’était pas adaptable. Maître Marie-Hélène Eyraud a réussi à obtenir une provision conséquente pour nous permettre d’acheter  le lieu actuel, de plain-pied sans que l’affaire soit terminée. Nous avons ensuite pu revendre l’ancienne maison. »

« Nous avons été bien entourés »

Aujourd’hui David tente de poursuivre sa vie presque comme avant : « Je pratique le judo que je pratique de façon différente, du vélo, je peux aller au restaurant, partir en vacances, on voit les choses différemment en relativisant. »

Sa femme Elodie témoigne de l’assistance juridique précieuse apportée par nos avocats suite à cet accident de la route :

« Le parcours a été long et fastidieux, certes, mais une fois la colère passée, David a su faire preuve de résilience pour aller vite ; une fois que nous avons été bien entourés, les choses ont été beaucoup plus faciles et assez sereines, même dans les moments de doute car nous avions les bonnes personnes autour de nous. »

Ne restez pas seul.e pour vos démarches d’indemnisation

Vous avez vous-même été victime d’un accident de la route ? Ne restez pas seul.e, nos avocats sont à vos côtés pour déterminer l’indemnisation la plus juste, prenez contact avec nous pour un premier rendez-vous. Notre cabinet intervient sur toute la France.

Crédit vidéo : Boris BEYNET